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/ Unité de santé internationale

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Une semaine sous le signe du développement et de la coopération internationale  

À l’occasion de la Semaine du développement international, la direction des Affaires internationales de l’université de Montréal réunissait des représentant(e)s d'universités et d'organisations non gouvernementales de coopération internationale. 

Le 6 février, au Campus Mil, plus d’une soixantaine de personnes issues d’établissements d’enseignement supérieur et d’organisations se sont réunies afin d’échanger et de réfléchir sur le rôle que peuvent jouer les établissements d’enseignement supérieur dans l’atteinte des objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies.

La directrice de l’USI, Karina Dubois-Nguyen, animait la table ronde, composée de quatre personnalités impliquées dans des projets de coopération internationale, provenant de différents secteurs :  Marie-Pierre Nogarède, directrice générale adjointe et directrice des programmes de la Fondation Paul-Gérin-Lajoie; Roxane Caron, professeure agrégée à l'École de travail social de l’UdeM; Sarah Stecko, directrice des opérations et partenariats du Centre interdisciplinaire de développement international en santé de l'Université de Sherbrooke et Alexis Kafando, épidémiologiste à l'Institut national de santé publique du Burkina Faso.

De gauche à droite : Alexis Kafando, Sarah Stecko, Roxane Caron, Marie-Pierre Nogarède et Karina Dubois-Nguyen - © Amélie Philibert | Université de Montréal 

Les panelistes ont mis de l’avant des projets présentant la richesse de la collaboration entre les établissements d’éducation supérieure, les ONG internationales et locales ainsi que les partenaires locaux, incluant les universités. L’implication d’acteurs et d’actrices sur le terrain facilitent la gestion inclusive des projets mobilisatrice des populations concernées pour une meilleure atteinte des ODD. 

« Malgré les importants défis que nos organisations rencontrent pour l‘atteinte des objectifs du développement durable tels l’accès aux services de soins de santé primaire, à l’éducation de base, les enjeux d’insécurité liés aux conflits et les besoins importants de populations déplacées surtout les femmes, la disponibilité et la rétention des ressources humaines particulièrement en milieu rural, plusieurs opportunités se présentent. Pour ne donner qu'un exemple, l'engagement de l’Université de Montréal et des universités est manifeste en matière d’internationalisation aux services des populations dans le monde. » Karina Dubois-Nguyen